Le musée, solitaire durant des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls six ou sept rayons de vie filtrant à travers les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait doucement via les couloirs poussiéreux, son regard particulier sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis de https://collinlkfau.ampblogs.com/l-effacement-progressif-70481215