Le manoir se dressait, condamnant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une structure de verre et de métal résistait encore au temps : une serre oubliée, impénétrable après un mur de végétation sauvage. https://martinjwdil.bleepblogs.com/34243052/les-traces-figées