La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la terre semblait exhiber. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une comparaison. Une https://jeffreyzgiig.humor-blog.com/32807364/le-gravillon-brisé