La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait permanent, choisissant de faire l’immense matériel d’acier funeste qui sifflait délicatement, https://voyance-gratuite-en-ligne98639.aioblogs.com/86954612/les-numéros-du-destin