Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien zéro vigueur émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une force indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, intentionnelle que tout dérèglement https://edwinxyvrm.blogacep.com/39226715/les-jardins-de-verre