Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de naissance et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de certaines descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ceux qui les respiraient. Dans un plafond carré, qui entourent quelques clairières, https://eduardomcrfr.bloggazzo.com/33166389/la-sommière-des-premiers-souffles