Au masser quotidiens, l'éclairage traversait l’air sec en fines particules dorées, exagérant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait régulier devant le téléphone satellitaire, encore activé, tels que suspendu à une onde plus antique que la voix de l'homme. Les derniers signaux entendus la https://manuelxjsbj.blogdiloz.com/33021807/les-pendules-du-vent